La realidad decide los latidos de mis dedos; palpan el presente de la duda mientras deseos hambrientos mastican mi inexistencia. Maleficios, lujuria, abro el pudor de tu conciencia y fornico con el sudor de tu garganta; orgasmo cósmico. Me siento preso en esta selva de concreto, amadores de lo inconcluso, de lo ajeno. El único sobrio en esta cama soy yo… y aún no despierto…

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viernes, 18 de septiembre de 2015

Amérique




Laisser l’esclavage
Laisser la pensée  
Pour un vert qui ne sert a plus
C’est la cote azur qui devient virile avec le chantes de sirène
C’est l’amour qui réapparait par la fenêtre
Du handicap
De la personne qui ose à servir au roi
A la cuisine
Elle est partie où la liberté
Elle est partie où ma pensée
Mon envie de dévorer les murs de n’importe qui
Je suis
Une œuvre du collection d’un musée Bourgois
Je suis mort à cause de la bière
Je suis mort à cause de l’argent
De la Colombie
De la France
De cette actualité qui me tue avec ses nouvelles
Jaunes comme le peu du léopard
Avant
Je connaissais les chemins
Les routes précieuses
Maintenant
Je serais dans une future passée
Un être humain comme les autres
Capitaliste
Conservateur

Un Révolutionnaire sans espoir 

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